Le 2 Juillet dernier, à la maison des associations de Monaco, a eu lieu le cocktail de présentation des nouveaux projets 2016 de l’AMREF Monaco, en présence de la marraine internationale de l’AMREF, Caterina Murino, et de l’acteur italien Remo Girone, nouveaux ambassadeurs de l’AMREF Monaco.

Emus et fiers de faire partie de la première ONG de santé publique africaine, les ambassadeurs contribueront à accroitre la notoriété de l’AMREF en Principauté et à sensibiliser la communauté monégasque sur les principaux enjeux sanitaires présents sur le continent africain et les solutions durables à mettre en place.

Plus tôt dans la journée, l’actrice Caterina Murino était invitée sur Radio Monaco pour témoigner de son engagement aux côtés de l’AMREF depuis maintenant plus de 10 ans. Au cours de la soirée, elle a partagé son retour d’expérience suite à ses 7 missions de terrains au Kenya, en Ethiopie et au Sénégal. Remo Girone vient, quant à lui, de rejoindre cette belle aventure qui chaque année, permet à 12 millions de personnes d’accéder à des soins de qualité dans 30 pays africains.

Le Président de l’AMREF Monaco, Riccardo Arvati, et la Chef de Bureau, Silvia Tolve, ont présenté les nouveaux objectifs de développement de l’association à Monaco, et le plan d’action lancé suite à la soirée de Gala du 17 Octobre 2015, réalisée sous le Haut Patronage de S.A.S le Prince Albert II.

Cette année, en partenariat avec le Gouvernement Monégasque et les fondations Princesse Charlène, Princesse Grace et Stavros Niarchos :
• 300 infirmiers et sages-femmes pourront être formés dans 10 régions du Sénégal
• 500 enfants seront inscrits dans un programme d’éducation à l’hygiène et à la santé et bénéficieront de cours de natation dans les zones kenyanes à très haut risque de noyade
• 1 400 écoliers pourront bénéficier de services de santé de qualité à Limpopo, dans la Région la plus pauvre d’Afrique du Sud

Au cours de cette soirée, 1 500€ ont été collecté grâce à la générosité des nouveaux adhérents de l’association, pour contribuer à la mise en œuvre des projets en cours. Mais il y a encore beaucoup à faire, main dans la main avec le gouvernements africains et des solutions locales et durables.